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Kurosawa Kyoya

Données Spirituelles
Grade: King of Swords
Sam 3 Sep 2022 - 15:15 - Yuta - 11eme Siège de la 11eme Division [Terminée]

Yuta

Race Shinigami
Âge La vingtaine physiquement


Grade11eme Siège de la Onzième Division


Pouvoir

Hokori est le nom du Zanpakutō de Yuta. En l'état, Yuta ignore tout de son Zanpakutō, qui se présente sous le forme d'un katana scellé dans son fourreau à l'aide d'une chaîne de métal.
Yuta - 11eme Siège de la 11eme Division [Terminée] P-shini

Description


Yuta est nonchalant, décontracté. Force tranquille, on lui devine un fort caractère avant qu'il ne parle, et la théorie ne fait que se confirmer quand il commence. Ni grand ni petit, son corps est bâti d'une musculature sèche parsemée de quelques cicatrices, tous deux forgés par une vie de débrouillardise et de combat dans les rues du Rukongai. Ses cheveux sont rouge sombre, ses yeux sont d'un noisette clair, quelques piercings font leur chemin ça et là sur sa peau pâle. On lui donnerait la vingtaine, pas plus. Boule d'Ego, Yuta est confiant, orgueilleux, allons même jusqu'à dire arrogant : dans son esprit, il sait tout faire; et ce qu'il ne sait pas encore faire ne représente qu'un défi à relever.

Plutôt sociable, parfois trop, c'est quelqu'un de curieux, intéressé, quelqu'un qui aime savoir. Débrouillard par la force des choses, c'est un indépendant dans l'âme : il n'aime pas avoir de dettes, il n'aime pas devoir demander d'aide, il n'aime pas devoir se fier à quelqu'un ou quelque chose d'autre. Son aisance à approcher les autres et sa réticence à dépendre d'eux en font quelqu'un qui noue facilement des relations superficielles, mais qui se ferme souvent à des liens plus profonds. Souvent, mais pas systématiquement.

C'est l'impression qu'il renvoie, finalement : ce jeune plein d'Ego, qui aime s'amuser, qui aime approcher, mais qui n'aime pas se mélanger. Impertinent, joueur, bagarreur, peut-être un peu rebelle sur les bords, c'est quelqu'un qui a l'habitude de jouer avec les règle : les contourner, les briser.

À le voir si orgueilleux, on ne peinerait pas à le deviner ambitieux. Mais quels seraient ses objectifs, alors ? Là réside le mystère.


Yuta - 11eme Siège de la 11eme Division [Terminée] P-shini

Histoire


D'abord, le vide.
Enfin. Le presque vide. 'Parait que quand on vient ici, on ne se rappelle de rien. Rien de « la vie d'avant »... Mais – puisqu'il y a un mais – certains se souviennent. En partie, un peu, par bribes. Je suis de ceux-là. Donc... Ouais. Pour moi, pas le vide : le presque-vide.

Avant le Rukongai, il y avait l'autre côté. Celui de ceux qui vivent vraiment. Je me rappelle, mais c'est flou. Je me rappelle des émotions, des sensations, parfois des flashs... Je me rappelle d'un nom : Yuta. Je me rappelle de l'adrénaline, l'euphorie, les distractions. Je me rappelle des cachets sous la langue, des lignes blanches sur le bord d'une table. Je me rappelle des autres. Ceux à qui j'ai fait du mal, ceux avec qui j'ai fait du mal. Je me rappelle de l'argent, de la facilité achetée au prix du sang. Je me rappelle des regards. Il y avait ceux qui admirent, ceux qui craignent, et ceux qui jugent.

Mais surtout, il y avait celle qui était déçue. Et c'était celui-là, le regard qui importait vraiment.

Son visage est flou, comme tous les autres. Mais je me rappelle des rides, de la sensation familière. Je me rappelle des murs de mon enfance. Étroits, fissurés, fins. Je me rappelle des cris, des crises, je me rappelle de l'origine : l'origine du chemin de lignes blanches, de violence et de liasses faciles. Je me rappelle d'un désir : Vivre. Vivre mieux, vivre loin. Je me rappelle que ça n'était pas que pour moi. C'était pour elle, aussi.

Puis, je me rappelle des détonations. Et après les détonations, l'impuissance. La colère, le désespoir, la douleur, et enfin, l'abysse. Puis... Puis ici.

Les rues sont étroites, sales, chaotiques. Des airs de Japon féodale, mais... J'sais pas. Quelque chose qui colle pas. Quelque chose de pas naturel. Mais aussi et surtout, quelque chose d'insupportable : la faim. J'ai faim, vraiment faim, très faim, trop faim. J'ai faim, dans un monde qui semble fait pour ceux qui n'ont jamais faim. J'ai faim, et à une autre époque, dans cette situation, j'aurais simplement pu voler, mais y a personne à voler. Ou presque. La nourriture existe, mais elle est rare, bien trop rare. Alors j'ai faim, alors j'enrage, alors je serre les poings... Je cherche.

Ça se compte en jours, avant que je trouve la première fois. Les poubelles derrière un bâtiment aux airs de dojo. Un instant, mon Ego m'interdit de m'abaisser à fouiller les ordures pour me nourrir, mais mon estomac me rappelle vite l'ordre de priorité, alors j'envoie chier mon Ego, et je mange. Je mange parce qu'il n'y a que ça : la faim. Jusqu'à ce que je la rassasie, en tout cas. Jusqu'à ce qu'elle se calme, que je puisse penser clair. Que je puisse questionner, que je puisse...

J'suis où exactement, en fait ?

***

J'suis mort. Voilà où je suis.
Une part de moi le savais déjà, mais l'entendre confirmé m'a quand même foutu un coup. « Soul Society », « Rukongai », ce sont les premiers mots que j'apprends. « Seireitei », « Shinigami », ce sont ceux que j'apprends pas trop longtemps après. Et je mets pas longtemps à comprendre le dessin.

Le paradis est un mensonge. Même dans la mort, il y a ceux au-dessus, ceux en dessous. Il y a les gens simples sans prétention, il y a les ambitieux, il y a les altruistes, les connards, il y a l'ordre, la loi, et donc fatalement les hors-la-loi. Il y a tout ce qui fait le monde des hommes... Sauf l'électricité, la faim, et le tracas du temps qui passe. Pour les gens « normaux », en tout cas. Moi, j'ai faim. Et ça veut dire quelque chose.

Loin du Seireitei, parmi les districts reculés à l'est, j'ai vagabondé un temps. Même dans un monde sans faim ou presque, on trouve des gens qui vont vouloir plus, qui vont vouloir ce que leur voisin possède. On va trouver des raclures, des types qui s'amusent à cogner pour se sentir vivant, des opportunistes...

Des gens comme moi, quoi.

J'ai beaucoup joué le jeu des phalanges, dans ces ruelles défoncées. Parfois j'ai gagné, parfois j'ai perdu, mais j'ai surtout gagné, parce que j'avais le pouvoir de ceux qui ont faim. Je l'avais peut-être même trop, en fait : cette énergie qui me prends, quand l'adrénaline s'en mêle, quand les émotions montent. Quelques fois, j'en ai qui sont tombés inconscients devant moi rien qu'avec ça. « Pratique », qu'on me dirait, mais... Mais je maîtrise mal ce truc. Parfois je perds le contrôle, et ça fait mal. Parfois je perds le contrôle, et l'énergie filtre sans que je le veuille. Et des gens finissent blessés.

Des gens qui ont rien demandés.
Et j'sais pas. Blesser ceux sur le côté qui auraient jamais dû être impliqués, ça résonne dans mon esprit. Et j'aime pas ça.

J'aime pas ça, parce que les mois passant, j'ai fait des rencontres, tu vois. Et pas seulement des rencontres faites de bouches cassées. J'ai rencontré des gens avec qui j'ai rit, certains avec qui j'ai fait des conneries. Mais après les premiers incidents à cause de cette énergie, je me suis éloigné.

Et j'ai cherché d'autres gens comme moi.
Pas comme moi « raclures qui s'amusent à cogner pour se sentir vivant », hein. Comme moi, « ceux qui ont faim.» Parfois, ça s'est mal passé. Parfois, j'ai pris la nourriture sur leur corps au sol, nez cassé, puis je me suis retourné dans la direction opposée. Puis y a ceux avec qui ça a collé, jusqu'à former une petite bande. Tseh. Ouais, c'est ça, une bande de terreurs des districts reculés du Rukongai. Quand on avait faim, on volait, on chassait pour survivre. Quand on avait plus faim, on vivait, on s'éclatait.

Mais voilà, le truc, c'est que je me voyais pas vivre comme ça éternellement. De longues années de cette vie longue, si longue... à quoi. À voler dans les bidonvilles, faire les 400 coups avec une bande de potes jusqu'à finir par enfin vieillir, et après quoi... Après quoi ? J'sais pas. Moi même je sais pas. J'me vois pas vieillir dans ce taudis, surtout si c'est si long, vieillir. On a tous une seconde chance, finalement. Parce que cet endroit, c'est certainement pas le paradis, et entre nous, j'me vois pas mériter le paradis, au fond. Pas l'enfer, non... Mais pas le paradis non plus. Cet endroit, c'est juste une seconde chance. L'écran est passé noir et le film était supposé se finir, là en bas... Mais non. Non, quand tu crèves, tu finis ici. T'as ceux qui vont se contenter de ça, vivre et attendre la suite... Pas moi.

J'veux plus que ça.

***

Et si tu veux tout savoir, depuis presque le début, j'y pense. Un peu moins d'un an, que je suis ici, et
j'ai vu les Dojos. J'ai entendu, j'ai appris, au moins un peu. L'histoire de ce monde, les derniers conflits. Les Dojos sont récents, les effectifs manquent, chez les types en kimono noir... ça manque tellement qu'ils viennent recruter dans la fange. Et j'ai beau savoir depuis plusieurs mois, je voulais pas, au début. Parce que je me méfie d'eux. Pas besoin d'être un putain de génie pour voir comment le monde fonctionne ici : Le Rukongai et ses péons, ses dispensables, ceux qui ne comptent pas vraiment... Puis le Seireitei. Les Shinigami, les nobles, tout ça tout ça. Tu sais : ceux qui comptent, du coup. Nous ? Nous, on est la tâche ingrate. On est leur charge, on est les données, les chiffres pour la grande machine. Oh, j'suis sûr qu'il faut faire attention hein, qu'ils prennent soin de nous, bien sûr... Mais eh. À la fin, on est des chiffres. On est « Le Rukongai ».

Je veux pas être « Le Rukongai ». Je veux être moi.

Plusieurs fois, ils nous ont approchés, moi et les autres. Plusieurs fois, on a refusé. Tout ça pour que finalement, ça soit moi qui vienne au pas de la port de leur dojo, tout seul comme un grand. Là, au milieu des différents étudiants, j'ai vite adopté un rôle bâtard : mi-mouton noir, mi-prodige. Laisse-moi t'expliquer : Prodige, parce que, ben, je suis capable de battre à mains nues la plupart des autres étudiants même s'ils sont armés, et parce que je suis plutôt pas trop con. Mouton-noir, parce que... Comment il disait déjà ? « Indiscipliné, capricieux, arrogant. Passe une moitié de son temps à s'amuser aux dépends de ses camarades et frimer, l'autre à draguer les étudiantes et flemmarder ». Bon, techniquement je passais aussi l'autre moitié de mon temps à étudier un minimum, et on arrive à trois moitié, et ça veut rien dire, mais eh, c'est des instructeurs, pas des profs de math, on les pardonne. Tout ça pour dire en résumé :

J'ai appris les bases de « comment manier une épée », sans grande conviction. Le Rukongai pour moi, ça a été un long combat où chaque affrontement finissait avec mes poings dans la gueule de l'autre, qu'il ait un bout de métal pointu, tranchant, contondant ou non. Je sais ce que je vaux, je sais à quoi je suis bon. Et s'trouve que je suis bon à péter des gencives à mains nues, et c'est exactement ce que je compte continuer à faire. Alors huh, ouais. Ils aiment pas trop ça au dojo, 'paraît que c'est présomptueux, inconscient, et pleins d'autres mots pour faire la morale... mais bon. Ça fonctionne, oui ou non ?

J'ai appris à maîtriser mon Reiatsu. « Reiatsu », oui, j'ai appris que ça s'appelait comme ça, ces fois où mon énergie filtrait sans que je contrôle tout le temps. 'Parait que j'ai beaucoup d'énergie pour une jeune âme, trop pour que ça soit facilement gérable. 'Parait aussi que j'ai un grand potentiel, pour peu que j'arrive à maîtriser ça... 'Voyez, au final ils me font la morale parce que je veux pas faire de moulinets avec leurs épées, mais après ils me caressent l'Ego avec des « tu as du potentiel, bla bla bla », donc eh, on en revient à ça : j'ai pas besoin d'épée.

J'ai pas envie d'être dépendant d'un outil. J'veux me suffire à moi-même.

Au final ? Au final, malgré que je sois « indiscipliné, capricieux, arrogant » (mais vraiment, je pense que dans leur esprit, ça sonnait plus genre « jeune connard insolent »), j'ai quand même attiré l'attention. Assez pour décrocher une place à l'académie, et signer avec ça mes premiers pas hors du taudis géant qu'ils appellent Rukongai.

C'est que j'ai bien envie de voir à quoi ça ressemble chez les gens importants, moi.

***

Comme quoi, ça paie d'être né au bon endroit au bout moment.

La remarque que je me suis fait, au premier jour, quand j'ai vu. C'est grand, le Seireitei. Mais pas « Grand » comme le Rukongai... Techniquement, le Rukongai est plus grand. Mais il est surtout étouffant, étroit, fait de ruelles sombres et de coins louches. Celui que je connais, en tout cas. Sur le chemin vers le Seireitei, j'ai vu les quartiers plus proches... Tranquilles. Le quartier de ceux qui sont toujours pas importants, mais qui vivent mieux.

Mais ouais. C'est grand, le Seireitei. C'est joli, aussi. Tout symétrique, tout parfait. Mais surtout ? C'est strict, le Seireitei. Le Chaos de mon petit district paraît bien lointain, ici. Tout est ordonné, tout est à sa place, tout est réglementé, et tous doivent suivre les règles... Ouais. Ordonné, tout à sa place.

Ou presque.

Pas parce qu'il y a plus de règles que la population de connards qui aiment briser les règles disparaît totalement, hm ? Nah, ça diminue, au mieux. Puis je te parle même pas de ceux au-dessus des règles. Ceux qui sont nés à l'intérieur. Ceux qui ont la loi de leur côté. C'est marrant, quand t'en vois parmi ceux-là qui se croient si supérieurs. Vraiment marrant.

Bref, je divague. Académie, disions nous. L'Académie et son ordre presque parfait, ses exercices, ses exigences. C'est là-bas que j'ai appris, que j'ai vu... Tseh. Que j'ai vu que j'avais encore beaucoup de chemin à faire. Je me suis toujours vu fort. Très fort. Puis j'ai vu ce que les Shinigamis pouvaient faire, de mes propres yeux. C'est toujours plus impressionnants que dans les histoires, quand on le voit en personne. J'ai vu, et... Et quoi, tu penses que ça m'a rendu humble ? Tseh. Nah.

Ça m'a donné un objectif à atteindre.
C'est ça qui me manquait, dans ce putain de taudis. Le Rukongai, c'était survivre le jour prochain, manger, et profiter de la vie quand rassasié. Ça allait jamais plus loin. Ici ? Ici, j'peux voir plus grand. Je l'ai vite compris. P'tet trop vite, en fait : j'avais déjà mes grandes ambitions alors que j'étais qu'une jeune pousse de l'académie. Les idées et projets dans ma tête qui fusaient, s’entremêlaient, se remplaçaient.

J'pourrais marier une petite noble et me payer une place au soleil.
J'pourrais profiter des missions dans le monde des humains pour briser la routine.
J'pourrais voir à rajouter du blanc sur le noir. J'suis sûr que ça m'irait bien, un haori...
Va savoir, j'pourrais ptet changer les choses.

Pleins de projets, pleins d'idées. Mais avant ça, étudier. Et disons que... Hem. Tu te rappelles, le dojo ? « mi-mouton noir, mi-prodige » ? Ouaiiis. Disons que ça a été un peu la même formule, à peu de choses prés.

J'ai pas eu le choix que d'apprendre au moins un peu à me servir d'un Zanpakutō. Que je le veuille ou non, les leçons étaient obligatoires, et même si j'y mettais pas le plus grand entrain du monde, le maniement a bien finit par s'imprimer dans mes habitudes. J'ai appris le théorique de « ce qu'est un Shinigami, ses droits, ses devoirs », j'ai appris les Hollows, j'ai appris tout ce qu'un Shinigami doit apprendre. J'ai appris le Kidō, mais je n'ai jamais vu l'intérêt de développer la matière. Toujours, je ne voulais pas dépendre d'un outil, je voulais me suffire. Les incantations, c'est un outil. Puis eh... Si ça pouvait faire des choses que je peux pas faire, je dis pas.

Mais fais la liste, deux minutes :
Détruire, je peux faire avec mes mains.
Se déplacer à grande vitesse jusqu'à ma cible, je peux faire avec mes jambes.
Immobiliser, je peux faire avec mes bras.

Morale de l'histoire ? Le Kidō, c'est Moi.
On m'a dit que j'étais de mauvaise foi quand j'ai présenté cette théorie à deux trois potes... Mais moi j'aime bien. Puis c'est pas un hasard si je peux me permettre de sortir des trucs comme ça : je fais VRAIMENT mal avec mes mains et je suis VRAIMENT rapide. Ça sort pas de nulle part. Et ceux qui me pensaient du genre « vif, mais pas spécialement fort » en voyant ma carrure ont été déçus, t'en fais pas. Bref. Assez parlé de mes poings : parlons de moi.

Ou plutôt, de moi et mon Zanpakutō. Parce que savoir le manier, c'était la base simple de ce que j'ai dû apprendre à l'académie. Ce que j'aurais aussi dû apprendre en théorie... C'est... Hem, son nom ? Communiquer avec, des trucs comme ça ? Ouais, huh, disons que ça a pas trop fonctionné. On me dira encore que j'y ai pas mis du miens, mais tout ce qui est méditation, se poser en tailleur, se concentrer fort et espérer que l'esprit dans la lame réponde... Disons que c'est pas mon fort. Puis est-ce que j'en ai vraiment besoin ? Si mon Zanpakutō pensait vraiment que j'ai besoin de lui, il pourrait m'appeler lui-même, non ? Enfin... J'sais pas. Ptet que j'y arriverais, un jour. Un jour où j'en aurais besoin.

Pour le moment, je me débrouille très bien seul.

***

ça a été ma mentalité le reste des années du cursus. J'ai gardé mes lacunes, affûté mes forces jusqu'à ce qu'elles puissent compenser mes lacunes, jusqu'à continuer de donner des résultats lors des exercices pratiques, des chasses au Hollow en situation réelle. Le temps passant, ma lame s'est forgée, s'est changée. 'Parait que les Zanpakutō font ça, avec le temps. Le mien... Eh bien, une chaîne s'est formée autour du fourreau, jusqu'à bloquer l'accès de la lame, scellée à l'intérieur jusqu'à nouvel ordre.

Huh. Pas tout à fait bon signe, j'imagine, hein ?

Bwah. Tant pis. Tant pis, parce que la finalité de mon passage à l'académie, c'est que j'ai réussi mes examens et que j'ai fini affecté à la Onzième Division. « Faite pour moi », y paraît, même si on a hésité à me mettre à la troisième ou cinquième, des retours que j'ai eu. Donc, division des brutes, en gros ? Soit. Ça me va. Brute, je peux faire... à ma manière.

C'est le premier pas vers quelque chose de plus grand.
Yuta - 11eme Siège de la 11eme Division [Terminée] P-shini

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Dernière édition par Yuta le Sam 3 Sep 2022 - 19:56, édité 1 fois
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Kurosawa Kyoya

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Naoki Shiori

Données Spirituelles
Grade: Vice-Capitaine de la 2ème Division
Sam 3 Sep 2022 - 15:31 - Yuta - 11eme Siège de la 11eme Division [Terminée]

Bienvenue sur BTC Yuta ! Même si tu sembles avoir terminé, n'hésite pas à up pour qu'un correcteur passe te corriger à l'ouverture. Si tu as des questions, n'hésites pas à les poser dans le bureau du Staff.

Bon courage pour ta phase de rédaction !
https://www.before-tomorrow-comes.fr/t231-shiori-naoki

Naoki Shiori

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Kurosawa Kyoya

Données Spirituelles
Grade: King of Swords
Sam 10 Sep 2022 - 14:04 - Yuta - 11eme Siège de la 11eme Division [Terminée]

Prez terminée !
https://www.before-tomorrow-comes.fr/t865-kyoya-kurosawa-king-of

Kurosawa Kyoya

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Kuchiki Haruka

Données Spirituelles
Grade: Capitaine de la Sixième Division
Sam 10 Sep 2022 - 14:14 - Yuta - 11eme Siège de la 11eme Division [Terminée]

Bonjour Yuta !

J'ai le plaisir de te valider au grade de 11e siège de la 11e division !

Ton rang attribué est celui d'expert, ce qui te donne droit à 12 PC, 3 PB et 2600 Reiryoku à répartir librement dans ta FT. Tu disposes également de 2100 PV, sans parler les :
  • 5 techniques N1 ;
  • 4 techniques N2 ;
  • 2 techniques N3 ;
  • 1 technique N4 ;
  • 2 aptitudes (1 N1 & 1 N2).

Pour constituer ta fiche technique, je t'invite à relire plus avant le système de combat et suivre le modèle de FT dans ta zone de faction où tu pourras poster ton sujet.

Tu veilleras à pas laisser trop de miettes de chips quand tu passes dans le bureau du staff par contre, s'il te plaît.

Je te souhaite à présent bon jeu sur BTC, au plaisir de te démolir rencontrer en RP !
https://www.before-tomorrow-comes.fr/t1454-kuchiki-haruka-en-cou

Kuchiki Haruka

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