Orias
Données Spirituelles
Grade: King of Coins
Ven 2 Sep 2022 - 9:49 - Orias l'Astromancien
Orias
Race Fullbringer
Âge Trentaine
Grade King of Coins
Pouvoir
Stardust Revolution - Nous sommes tous les enfants des étoiles. Tout en l’organisme des êtres vivants a été créé au coeur même des étoiles. Les poussières d’étoiles ont intégré la Terre au moment même de sa formation, avant de constituer tous les êtres qui la peupleront, et ce pour l’éternité.
Le catalyseur de son pouvoir est un diamant brut de couleur jaune qu’il porte en pendentif. « Mon étoile » la présentera-t-il parfois s’il est à l’aise. Lorsqu’il libère la puissance de son Fullbring, elle se met à briller vivement, cause une déflagration puis… plus rien. La lumière n’est plus, et le diamant a disparu. Visuellement, peu de choses ont changé. Mais Orias est désormais capable de manipuler ces poussières primaires naturellement présentes dans l’environnement, ainsi que de se nourrir et se renforcer des matériaux vivants. Ses ennemis inclus...
Le catalyseur de son pouvoir est un diamant brut de couleur jaune qu’il porte en pendentif. « Mon étoile » la présentera-t-il parfois s’il est à l’aise. Lorsqu’il libère la puissance de son Fullbring, elle se met à briller vivement, cause une déflagration puis… plus rien. La lumière n’est plus, et le diamant a disparu. Visuellement, peu de choses ont changé. Mais Orias est désormais capable de manipuler ces poussières primaires naturellement présentes dans l’environnement, ainsi que de se nourrir et se renforcer des matériaux vivants. Ses ennemis inclus...

Description
« Rêver c'est scruter les étoiles et savoir interpréter leur message ».
À ce titre, l’on peut donc dire d’Orias qu’il est un rêveur, à n’en pas douter. Toujours la tête dans les étoiles, et pas forcément pour prédire ce que le sort lui réserve. Certes, cela en représente une part non-négligeable, c’est qu’il n’a pas hérité de l’épithète de « l’Astromancien » par hasard. Fut un temps, une époque révolue, où l’on aurait dit de lui qu’il était perché, et pas forcément que sur sa monture. Maintenant les chevaux sont sous le capot, paraît-il, alors…
Mais qu’importe ! Orias est donc Astromancien. Astronome et astrologue autodidacte, il ne doit ses capacités qu’à lui-même, et évite d’en faire trop la publicité. C’est qu’il vient d’un siècle où les gens comme lui, on les tapait au bûcher et puis basta ! Déjà qu’il est né roux, cela ne facilitait pas les choses. Son art dès lors lui a surtout servi… à lui, et à ceux qui voulaient bien l’écouter. Des prophéties alambiquées lui dictant son quotidien, et dont l’on trouverait toujours bien un fait ou l’autre se rapprochant vaguement – bien que de manière suffisante à ses yeux – de ses prédictions pour qu’il puisse fièrement annoncer « et voilà, je l’avais bien dit ».
Plutôt optimiste, il considérera que s’il est toujours en vie malgré la vie qu’il a mené, c’est bien que ses prédictions fonctionnaient, non ? Bon, Orias est un Revenant et donc déjà mort une fois, sans parler de cette triple cicatrice qui lui barre l’oeil gauche. Mais il tendra à reléguer cela à de petits détails de l’histoire. C’est qu’il semble toujours d’humeur radieuse en tout cas. La vie est belle n’est-ce pas, et mérite d’être célébrée ! Aussi il demeure toujours à l’affût des bons plans, au point que le mot « gratuit » est l’un de ceux qui sonne le mieux à ses oreilles. De quoi expliquer sans doute sa tenue qui sans être tout à fait négligée – il reste très attaché à une propreté décente – reste de basse facture.
Mais son allure et son esprit vont de pair, habités d’une réelle désinvolture, comme si rien au fond ne pouvait avoir de réelle importance. Aussi ne faut-il pas s’étonner qu’il peine à restituer correctement une expression, mais qu’à l’inverse il ait toujours en stock une anecdote incongrue. Et si en réalité, tout cela n’était pas simplement sa manière à lui de faire oublier cette ombre perceptible en ses yeux sombres ?
À ce titre, l’on peut donc dire d’Orias qu’il est un rêveur, à n’en pas douter. Toujours la tête dans les étoiles, et pas forcément pour prédire ce que le sort lui réserve. Certes, cela en représente une part non-négligeable, c’est qu’il n’a pas hérité de l’épithète de « l’Astromancien » par hasard. Fut un temps, une époque révolue, où l’on aurait dit de lui qu’il était perché, et pas forcément que sur sa monture. Maintenant les chevaux sont sous le capot, paraît-il, alors…
Mais qu’importe ! Orias est donc Astromancien. Astronome et astrologue autodidacte, il ne doit ses capacités qu’à lui-même, et évite d’en faire trop la publicité. C’est qu’il vient d’un siècle où les gens comme lui, on les tapait au bûcher et puis basta ! Déjà qu’il est né roux, cela ne facilitait pas les choses. Son art dès lors lui a surtout servi… à lui, et à ceux qui voulaient bien l’écouter. Des prophéties alambiquées lui dictant son quotidien, et dont l’on trouverait toujours bien un fait ou l’autre se rapprochant vaguement – bien que de manière suffisante à ses yeux – de ses prédictions pour qu’il puisse fièrement annoncer « et voilà, je l’avais bien dit ».
Plutôt optimiste, il considérera que s’il est toujours en vie malgré la vie qu’il a mené, c’est bien que ses prédictions fonctionnaient, non ? Bon, Orias est un Revenant et donc déjà mort une fois, sans parler de cette triple cicatrice qui lui barre l’oeil gauche. Mais il tendra à reléguer cela à de petits détails de l’histoire. C’est qu’il semble toujours d’humeur radieuse en tout cas. La vie est belle n’est-ce pas, et mérite d’être célébrée ! Aussi il demeure toujours à l’affût des bons plans, au point que le mot « gratuit » est l’un de ceux qui sonne le mieux à ses oreilles. De quoi expliquer sans doute sa tenue qui sans être tout à fait négligée – il reste très attaché à une propreté décente – reste de basse facture.
Mais son allure et son esprit vont de pair, habités d’une réelle désinvolture, comme si rien au fond ne pouvait avoir de réelle importance. Aussi ne faut-il pas s’étonner qu’il peine à restituer correctement une expression, mais qu’à l’inverse il ait toujours en stock une anecdote incongrue. Et si en réalité, tout cela n’était pas simplement sa manière à lui de faire oublier cette ombre perceptible en ses yeux sombres ?

Histoire
« I see your star »
Hiver 2022, Banlieue de Tokyo
S’éloigner de la ville. De la lumière abondante, de la pollution. Il n’y est pas chez lui, n’y sera jamais vraiment. Orias se dirige vers les hauteurs, à l’écart de la population trop pressée qui surpeuplait désormais le monde. Autre époque. Peut-être que c’était plus difficile pour lui d’y voir sa demeure, son foyer, compte-tenu du fait que chaque personne qui avait pu compter pour lui un jour était déjà morte depuis des siècles désormais. Cependant elles étaient encore là, elles. Ses précieuses étoiles, au-dessus de sa tête. Moins nombreuses, moins lumineuses, mais toujours là, presque immuables. En regardant le ciel et les astres,
il parvenait à se souvenir d’eux. Ceux qu’il avait laissé malgré lui dans une autre époque. Un flash, ses paupières se ferment. Ce souvenir en particulier avait du mal à passer. Le dernier sur lequel il parvenait à arrêter son esprit.

Lapin Lunatique
Juste avant l’éclat, Japon
« Les étoiles m’ont dit que nous étions fait pour nous rencontrer, alors nous nous reverrons... ».
Bah voyons. Annoncer une pareille promesse, alors que Lapin Lunatique était en pleine 3e maison ? Et pendant Mars rétrograde qui plus est ? Il ne fallait vraiment douter de rien. Mais c’était le coeur plus que la raison qui s’était adressé à sa Chouette, sa rousse, son étoile. Halphas avait eu un mauvais pressentiment, qu’Orias avait confirmé par ses divinations : leurs étoiles n’annonçaient que de funestes présages. Il ne s’agissait pas de rivaux ou de victimes désireuses de se venger. La troupe du Hibou Hurlant avait bien assez fait parler d’elle pour qu’ils soient craints par tous ici. Pas moins de quatre héros dans leur compagnie de mercenaires. Quatre êtres aux capacités stupéfiantes. Personne n’oserait s’y frotter une seconde fois s’il avait l’occasion de l’éviter.
Non, là c’était autre chose. De quoi leur nouer l’estomac. Des démons masqués peut-être ? Ils en avaient déjà affronté quelques uns, et si les premières fois avaient été périlleuses, ils ne s’en nourrissaient plus tant d’inquiétudes. Puis ils se seraient déjà montrés, eux, en poussant un de leur hurlement creux dont ils avaient le secret. Là, ils ne pouvaient s’empêcher de se sentir observés… Alors, la décision avait été prise. Les trois surhommes les plus puissants se sépareraient du groupe, se feraient oublier. Pendant que sa rousse mènerait le reste de la troupe ainsi que les richesses qu’ils avaient accumulés ici. Le convoi n’étant plus aussi protégé, cela pourrait provoquer une attaque, et dès lors, ils n’auraient plus qu’à revenir fissa et régler le problème.
Mais le convoi n’avait jamais été la cible. Ceux qui étaient venus les chercher n’avaient pas tardé à agir en effet. Pour les intercepter eux ! Les empêcher de semer plus de trouble. Mais l’éclat de ce souvenir est trop vif déjà, lui provoquant une migraine. Entre temps, ses yeux se sont adaptés à l’obscurité, et viennent à s’attarder sur une nouvelle constellation...

Paon Pavoisant
Quelques années plus tôt, Alexandrie
Ses augures n’avaient pas toujours été néfastes. Il avait été un temps où Paon Pavoisant en plein fond de ciel avait suffit à ce que la troupe décide de se lancer pour de bon ! Cela faisait quelques années que la compagnie de mercenaires du Hibou Hurlant avait vu le jour. Et à présent ils s’en retrouvaient à la piraterie, bien loin d’imaginer que cette voie, peu à peu, les mèneraient à force de contrats et d’expéditions à l’autre bout du monde. Quoi qu’il en soit, tout cela était crucial pour lui. Il s’agissait là de ses premières traversées, ce qui n’était pas rien lorsqu’on était le fils du très célèbre pirate Acham le Roux, lui-même fils du forgeron dans une obscure tribut bretonne mais c’était une toute autre histoire.
Pour l’heure, c’était le moment de se préparer au plus gros coup de leur carrière. Pour cela, Halphas venait de dénicher un nouvel être « comme eux ». Halphas, la Chouette – appelée ainsi par Orias pour être la seule femme des Hiboux Hurlants, surnom repris par toute la troupe ensuite – et donc Orias étaient jusque là les seuls de la compagnie à posséder des pouvoirs qui leurs vaudraient aisément le bûcher s’ils se faisaient prendre. Sa sorcière rousse n’avait pas intégré la troupe depuis longtemps encore, et balbutiait à peine dans l’apprentissage de ses pouvoirs sous la houlette d’Halphas. À part eux, de simples mercenaires et marins. Enfin, « simples ». C’était la famille ! Famille que rejoindrait ce jour celui qu’Halphas appelait « le Marabou ». L’africain était trapu, et jamais Orias n’avait vu une peau aussi sombre jusque là. Le crâne et le visage parfaitement rasés, et une réelle gentillesse dans les traits.
- - Je n’aime pas trop qu’il m’appelle le Marabou là. Moi tu peux m’appeler Gaou 2e Nyatao !
- Et moi je suis Orias ! Mais vous éveillez ma curiosité… si je puis me permettre, vous êtes roi, ou… ? Enfin, je veux dire… il lui est arrivé quoi, au premier Gaou ?
- Le premier Gaou n’est pas Gaou, oh ! C’est le deuxième Gaou qui est Nyatao.
- Oh. Ah… bah… du coup tout est plus clair !
- - Feel the Magic in the Air !
Dans la cabine du capitaine, des pierres précieuses comme prévu. Oh, pas par centaines, pas par caisses entières dans les cales. Juste une pochette avec une pleine poignée de pierres brutes, dont une capta irrémédiablement l’attention d’Orias. Alors qu’Halphas inspectait le butin, le roux tendit alors la main pour s’en saisir entre ses doigts. Se faisant assez confiance, le chef de leur troupe ne broncha pas.
- - Qu’est-ce que c’est ?
- Un diamant jaune. L’une des plus belles pierres de notre butin. À elle seule elle vaut bien ta part.
- D’accord !

Hibou Hurlant
Sous le règne de Cécilia 1ère, Dauphiné
- - Vous êtes plutôt doué aux cartes. Très fort, même.
- Oh, vous me flattez ! Juste un peu de chance, rien de plus, vous savez comment ça va !
- De la chance, oui, sans doute. Mais vous avez bien un petit secret, non ?
- Ah, je, heu… Vous voulez dire … ? Enfin, oui, ahah, démasqué, pfiou ! Allez, j’avoue tout, mais vous le gardez pour vous hein… J’ai demandé aux étoiles, et elles m’ont dit que je serai en veine aujourd’hui… voilà pourquoi je n’ai pas hésité à accourir m’adonner à quelques parties de cartes avec mes nouveaux amis et… pitié, ne dites rien hein ! Ils seraient capables de m’écorcher vivant !
- - Est-ce la chance également qui fait se mouvoir les cartes sans que personne ne les touche, ou bien ce sont vos étoiles qui descendent le faire pour vous sans que personne ne les voient ?
- - Je ne vous trahirai pas l’ami. Vous m’êtes sympathique, et je pense que nous avons beaucoup de choses en commun !
- - Ce qui tombe plutôt bien. Je suis ce que l’on pourrait appeler… un bandit de grand chemin ! Mais vous ne l’ignorez sans doute pas, mes confrères routiers pullulent dans la région, alors… j’aimerais étendre mes activités et fonder une troupe de mercenaires. Quelque chose de plus ambitieux, mais surtout plus lucratif. Pour cela j’ai cependant besoin d’une force de frappe plus conséquente. Soit beaucoup d’hommes, soit une poignée très compétents. Et je ne suis peut-être pas le plus grand des érudits, mais moins il y a de mains qui se tendent à la répartition du butin et plus les parts sont grosses.
- Oh oui oui, c’est sûr, je suis un érudit moi-même et je puis sans peine vous le confirmer, oui oui, bien sûr !
- Allons, ne soyez pas tendu, je vous ai dis que je ne vous balancerai pas. J’ai besoin de vous ! Qu’auraient à dire vos étoiles de mon projet, hein ? Il vous intéresse ?
- Eh bien, les étoiles… je vous l’ai dit, c’est un jour de veine. Occultation de Mercure en son passage sur Hibou Hurlant, ça ne peut être qu’une journée bénéfique pour les entreprises lucratives, oui !
- Hibou Hurlant ? C’est quoi ça ?
- Mais un constellation pardieu !
- Connais pas. Genre comme la Grande Ourse ?
- Roh mais non ! Allons, je vous parle d’érudition et vous me parlez de la Grande Ourse, ça ne va pas du tout hein ! Pourquoi ne pas l’appeler « la grande poêle à frire » tant qu’on y est ? Grande Ourse, Petite Ours, Nounours et puis bonne nuit les chtits, c’est ça ? Non non non, soyons sérieux deux minutes.
- - J’ai compris, j’ai compris. C’est parfait. La compagnie du Hibou Hurlant du grand Halphas, et de son compère… ?
- Orias ! L’on me nomme Orias.

Renard Radin
Hiver 2022, Tokyo
Petit ricanement. Doux souvenirs. Laisse filer un soupir, avant de s’assouplir un peu la nuque. Puis un coup d’oeil sur le ciel, en biais. Même lors de sa première vie, il y a plusieurs siècles, il n’aimait pas à la voir. Le Renard Radin. Sa propre étoile, que son père avait nommé ainsi en leur honneur, disait-il. Enfant, c’était cela qui lui avait donné envie de s’intéresser aux étoiles. Acham le Roux, son pirate de père, lui avait indiqué que cette étoile, son étoile, le guiderait toujours, où qu’il soit. Et d’autres osaient l’appeler l’étoile polaire, au sein de la Petite Ourse… rah, depuis toujours il n’avait pu qu’enrager à cette seule mention ! Renard Radin, c’est le souvenir d’un rare moment d’un fils avec son père, et elle n’appartenait qu’à lui…
- - Si tu connais les étoiles mon fils, tu ne seras jamais perdu.
- - Je ne sais plus quoi faire, papa. De nos jours, les étoiles ne me parlent plus...

HRP
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