Quel ironie... j'vous jure... (Terminé)

Le Zanpakutō de Reo, dans sa forme sceller est un tanto, d'on le tsuba ressemble a une toile d'araignée.

Shikai : Tisse, onigumo !
Une fois le shikai active le tanto prend la forme d'un poing américain, capable de produire et manipuler du fil, bien que particulièrement solide, les fils produit ne sont impossible à casser. Ils peuvent utiliser pour coudre toute sorte de chose ensemble : coudre l'ennemi a une surface, créer des plateformes ou des armes faite de fil (attention : même s'il créer un sabre, par exemple, en fil se dernier ne coupera pas pour autant), effectuer des point de suture pour des soins d'urgence, etc...
La force de se shikai réside dans sa polyvalence.

Reo est un jeune homme d’une quinzaine d'années, âge qu'il avait un moment de sa mort, au cheveu noir et des yeux bleu gris. Il possède une peau clair, et une taille normal pour son âge, bien que toute fois un peu plus petit que la normal.
Bien qu’au premier abord peut sembler solitaire et renfermer, c'est simplement qu'il a un mal fou a se mêler aux autres : Doit-il parler ? Doit-il se taire ? Son interlocuteur prendra mal ce qu'il va lui dire ?
Autant de question qui se bousculent dans son esprit quand un inconnu vient lui adresser la parole, cependant il existe une exception à cette règle : les enfants.
En effet Reo, est la bienveillance personnifié envers les plus jeunes. Il sera toujours prêt à aider un enfant dans le besoin qu’ils s’agissent, d'un fantôme, d'une âme du rukongai ou d'un vivant.
Quand on apprend à le connaitre Reo s’avère être un ami loyal et fidèle digne de confiance, à condition bien sûr qu'il arrive à sortir de sa coquille, car malheureusement sa personnalité de façade a tendance indiquer le contraire...
Car même s'il a beaucoup de mal à s'ouvrir aux autres ce n'est pas comme s'il était incapable d'interagir avec eux, mais quand sa personnalité de façade est au commande, Reo ne connais plus le sens du mot "délicatesse" : s'il a quelque chose à dire, il le dira cash !

Jour 01 Année 0001

Quitte à écrire un journal autant commencer par le début ; n'ayant pas la moindre idée de la date à laquelle j'écris ses ligne, j'ai décidé de commencer à partir d'aujourd'hui :

Combien de temps c'est écouler avant mon réveil ? Mystère !
Mais au réveil, surprise ! J'avais cette chaine brisé sur le torse, j'ignore la raison de cette amnésie mais pourquoi suis là ? Et ma famille dans tout ça, ou sont mes parents et mon petit frère ? Pourquoi personne ne me répond quand j'essaye de parler avec les passants ?
bon je reconnais que je ne suis pas doué pour parler aux autres, mais de la a être ignoré : bonjour la politesse...
Au moins, dans ma recherche j'ai toute fois trouvé quelque chose : Les ennuis ! Je n'oublierais pas cette espèce de serpent mutant qui essaya de me bouffer ! (première rencontre avec un hollow, elle est loin la merveilleuse rencontre sous le soleil couchant !)
Heureusement, dans ma malchance j'ai quand même eu du pot, sans cette bonne femme... je préféré pas l'imaginer en fait... Par contre elle aurait pu me demander la permission avant de me coller son sabre sur le front ! REMARQUE : je n’ai pas vraiment essayé de l'en empêcher. (Je me souviens encore de sensation apaisante, je me demande si tous les fantômes ressente sa lors du Konsō ?)


Jour 09 année YYY1

Cela fessait déjà quelque jours que j’étais arrivait dans cette espèce de reconstitution historique du japon qu'on appelle "Rukongai", si j'ai bien compté une semaine c'est écouler, comme c'est là que tous les défunt qui ont reçu le Konsō finisse, je me suis dit que ma famille y serait peut-être aussi, mais cet endroit est immense... Autant chercher une aiguille dans une botte de fois !
Au moins, je ne suis pas tomber dans le pire des quartiers, les gens qui y vivent sont tous sympa. (Quoique un peu intrusifs quand même)
Ici, aller savoir pourquoi mais personne n'as faim, ils mangent que s’ils en ont envie... (Dite sa à mon estomac, qui crie famine.)
Comme je n'en pouvais plus et que je n'osais pas demander, j'ai dû commencer à trouver ma nourriture moi-même, heureusement se n'est pas les moyen qui manque même je ne vous cache pas que pêcher dans l'eau froide à main nue, y a mieux comme passe-temps... (SURTOUT QUAND ON AIME PAS LE POISSON !!!)
Heureusement, je pouvais toujours me réchauffer devant le feu pendant que le poisson griller. J'y arrivais étonnamment facilement... (J'aurais été scout ou c'est juste le talent ? aller savoir.)
Recherche, pêche, et repas, mon quotidien se résumais à ses trois mots, bien que parfois l'odeur du poisson griller attirait les gens du coin, certain se servait sans vergogne (faut vraiment que j’apprenne à me rebeller...) parfois c’était des gamins qui était attiré par l'odeur, quand je vois leur regard intéressé, comment leur dire "non" face à ses yeux là ? Aussi je partagés mes prise et il me laissait jouer avec eux en échanges. (je l'admet ça ne me déplaisait pas de jouer avec les enfants du coin)
A force de répéter cette routine, j'ai commencé a m’intégrer, je reconnais que c'est pas désagréable de faire partie du groupe, jusqu'au jour ou maitre vieux schnock par l'odeur allécher me tient a peu prêt se langage...

Jour 24 Année YYY2

Si on m'avait dit que j'avais le potentiel pour marcher sur le pas de ma bienfaitrice, je ne l'aurais pas crût. C'est l’ancêtre que mon poisson avait attiré était un recruteur, ou un truc dans le genre... (Les long discours, y'a pas meilleur somnifère sur moi)
Résultat : me voilà de retour sur le banc de l’école. (Je meurs déjà d'ennui !)
Finalement, ce n’est pas si terrible cette école. Bon je reconnais que certain cour ne sont pas vraiment fait pour moi (Monsieur le maitre d'arme, encore désolé pour la bosse dut au sabre qui m'as échappé des mains !) mais d'autre en revanche : j'adore ! Pourquoi certain pense que le Kidō est difficile ? Moi j'arrive à faire les exercices les yeux fermé ! Je suppose que chacun a ses points forts...
D’après le prof de Kidō j'aurais des prédispositions pour le Kaido, bon je reconnais qu'avoir compris la théorie en autodidacte, ce n’est pas rien mais de là a vouloir me recommander la quatrième division... (Sans compter que je ne l'ai pas utilisé, enfin c'est un choix comme un autre alors "à voir" !)
Cela fait un moment que j'ai un Zanpakutō, que disait se bouquin déjà ? Lui demander son nom, je crois, s'il va devenir mon partenaire attitré, j'ai hâte de te rencontrer. Devrais-je accélérer les choses ?
Ça va faire une semaine, que ma curiosité à te rencontrer me démange, je ne tiens plus...

Jour 85 année YYY3

Je me souviendrais longtemps de notre première rencontre, partenaire !
Cela va faire deux ans maintenant que j'ai intégré l’académie, faudra que je remercie ce shinigami qui m'a guidé alors que je tentais le Jinzen...
La forêt dense et sombre, alors que je me demandais encore ou j’étais, tu m'es apparu. Une jeune fille, tout chez toi était blanc, aussi bien ta peau que ton kimono. Tu te souviens ? On a d’abord échangé des banalités, et âpres une prise de bec digne de gamins, tu as fini par me dire ton nom : Onigumo. (Sa explique les motifs de toile sur ton obi... goûts douteux, cela dit ce n’est pas à moi de juger)
Je peux imaginer la variété de capacité que ton pouvoir m'offre, comme un océan de possibilité qui ne demande qu’à être explorer. Dès demain je commence à m'entrainer avec toi !


Jour 192 année YYY4

Les derniers jours, avant la cérémonie de remise de diplômes, il s'en sera passé des choses : l'accident du cours de Zanjustu, notre première rencontre entre onigumo et moi, le voyage dans le monde des humains... (Personnellement : je m'en fichais un peu, mais bon)
Bon ce n’est pas tout ça, mais je dois me décider sur ma division : la quatrième m'as fait une offre de recrutement, j'avoue que c'est tentant mais je ne sais pas trop... le prof a beau m'avoir recommandé, c'est pas cette division qu'on charge aussi de toute les corvées ?
Ça m’énerve ! J’ai trop de chose en tête pour réfléchir ! Je vais aller faire une balade dans le rukongai, me reconnecter avec mes racines ne peut pas me faire de mal.
Le ciel, les dieux, ou qui vous voulez soyer loué ! Après avoir déambulé comme une âme en peine dans je ne sais quel district, j'ai entendu sa voix : C’était Teru ! Mon petit frère ! Je n'en revenais pas, enfin quelque chose m’était rendu ! Malheureusement lui ne m'a pas reconnu, j'en suis un peu triste... Mais savoir qu'il va bien et qu'il a pu trouver une nouvelle famille plutôt sympa, me suffit. Cela dit quand lui et ses copains ont vu m’on uniforme, je suis devenu la star des gamins ! Au moins à défaut d’être son grand frère, je peux être son copains, c’est toujours ça. (Je reviendrai lui rendre visite de temps à autres)
J’aurais aimé rester plus longtemps avec eux mais le temps file, j'ai dut rentrer à mes quartiers.
j'ai décidé d'accepter l'offre de recrutement de la quatrième division, au moins un temps, je pourrais toujours me faire transférer ailleurs.

Jour 254 année YYY4
Deux mois, se sont écouler, depuis que j'ai intégré la quatrième division, autant soigné les blesser ne me déplait pas, j'avais maitrisé le kaido en trois semaines (Un record !), faut croire que mon prof avais raison, mais le ménage du Seireitei et les moqueries de certains de mes "collègues" d'autres division : SA VA CINQ MINUTES ! C'EST QUI QUI SOIGNE LEUR BOBOS, HEIN !?
Je n'étais pas sûr de rester dans la quatrième division, mais là ma décision est prise ! je demande mon transfert !
Quand je repense à mon petit frère vivant dans le rukongai et les autres résidents, j'ai déjà choisi dans quel division je vais demander mon transfert : la cinquième, chargé de surveiller le rukongai...
Ça y est, c'est officielle, j'ai quitté la quatrième division au profit de la cinquième. Mes anciens équipiers m'ont même fait un petit pot de départ, bon c'était trois fois rien mais j'en ai quand même été touché, après ce n’est pas comme si, je partais a jamais, on pourra toujours se voir en dehors du travail ou au pire, en cas de besoin, ils pourront toujours demander à m’emprunter à la cinquième même si je doute que soit faisable...
Avec les patrouilles dans le rukongai, je ne vais surement plus avoir une minute à moi...
Ça me fait bizarre de penser que mes entrées dans ce journal touchent probablement à sa fin mais pour moi, ce n'est que le début...