Lilith
Données Spirituelles
Grade: Primera Espada
Ven 26 Mai 2023 - 11:45 - La Maison
De loin, elle a observé les combats menés par l’Acuerdo et ses Espadas pour déloger les humains de la zone. Couchée dans le sable blanc, la Louve se fait discrète comme elle sait si bien le faire, son reiatsu dissimulé aussi bien qu’elle le peut. Son visage neutre affiche peu à peu de la colère au fur et à mesure que les choses semblent tourner en leur défaveur. Une Arrancar qui abandonne, une autre qui se fait tuer, un qui est à deux doigts d’être capturé, un qui se fait dominer largement, etc. Lilith enrage. Ses prunelles lancent des éclairs de fureur. Pour autant, elle ne vient pas en renfort. C’est inutile, elle n’est pas suicidaire. Et il est évident que seule elle n’est pas de taille pour faire pencher la balance. Alors elle reste là, comme figée dans ce sable qui n’est même pas chaud.
Le Primera opère une retraite, bientôt suivi par la Quinta. Elle se souvient encore du dernier Tournoi en date. Il s’était déroulé d’une manière qui l’avait laissée sur sa faim. Les membres de son clan avaient marqué des points, mais pas assez à son goût. Et puis que dire de l’absence de l’ancienne Segunda ? C’est ainsi que les Manadas comptaient montrer leur supériorité ? Ç’en était à mourir de rire. Jaune. Doucement elle se redresse et s’ébroue pour faire partir les grains de sable logés dans sa piteuse tenue. Une robe courte, loin de la mettre en valeur, sale, effilochée…
C’est vers l’ancien Primera qu’elle se dirige. L’autre n’a aucune valeur ou légitimité à ses yeux, ayant gagné que grâce à une suite d’abandons pitoyables. En outre, la raclée qu’il venait de se prendre ne le faisait pas remonter dans son estime, bien au contraire. Le blondinet donc… Qui lui semblait avoir montré un peu plus de potentiel dans sa façon de se battre. D’ordinaire, elle restait loin des autres Arrancar, trop méfiante, mais là, il n’était pas en position de force. Les coups qu’il venait de subir l’avaient affaibli et cela la rassurait sur le fait qu’il ne l’agresserait pas. Pas aujourd’hui en tout cas… Elle redresse la tête et lui lance un regard hautain rempli de reproches.
« Quelle indignité. » Pour peu, sa façon de cracher ses mots serait aisément comparables à un aboiement. « Comment cette bande de cafards puant a-t-elle pu vous faire battre en retraite ?! »
L’Alpha ne cache pas sa colère, mais cette dernière semble plus générale que personnellement dirigée vers celui à qui elle s’adresse. Énervée, elle ne peut s’empêcher de faire les cents pas, tel un animal en cage.
« Et maintenant ils vont se croire chez eux ces bâtards ! Comment va-t-on exterminer cette vermine ? Vous avez prévu quoi pour la suite ? Vous n’allez pas les laisser faire hein ? »
Comment l’un des membres éminent de La Cámara va-t-il prendre l’intervention de cette furie qui ne mâche pas ses mots ?
Le Primera opère une retraite, bientôt suivi par la Quinta. Elle se souvient encore du dernier Tournoi en date. Il s’était déroulé d’une manière qui l’avait laissée sur sa faim. Les membres de son clan avaient marqué des points, mais pas assez à son goût. Et puis que dire de l’absence de l’ancienne Segunda ? C’est ainsi que les Manadas comptaient montrer leur supériorité ? Ç’en était à mourir de rire. Jaune. Doucement elle se redresse et s’ébroue pour faire partir les grains de sable logés dans sa piteuse tenue. Une robe courte, loin de la mettre en valeur, sale, effilochée…
C’est vers l’ancien Primera qu’elle se dirige. L’autre n’a aucune valeur ou légitimité à ses yeux, ayant gagné que grâce à une suite d’abandons pitoyables. En outre, la raclée qu’il venait de se prendre ne le faisait pas remonter dans son estime, bien au contraire. Le blondinet donc… Qui lui semblait avoir montré un peu plus de potentiel dans sa façon de se battre. D’ordinaire, elle restait loin des autres Arrancar, trop méfiante, mais là, il n’était pas en position de force. Les coups qu’il venait de subir l’avaient affaibli et cela la rassurait sur le fait qu’il ne l’agresserait pas. Pas aujourd’hui en tout cas… Elle redresse la tête et lui lance un regard hautain rempli de reproches.
« Quelle indignité. » Pour peu, sa façon de cracher ses mots serait aisément comparables à un aboiement. « Comment cette bande de cafards puant a-t-elle pu vous faire battre en retraite ?! »
L’Alpha ne cache pas sa colère, mais cette dernière semble plus générale que personnellement dirigée vers celui à qui elle s’adresse. Énervée, elle ne peut s’empêcher de faire les cents pas, tel un animal en cage.
« Et maintenant ils vont se croire chez eux ces bâtards ! Comment va-t-on exterminer cette vermine ? Vous avez prévu quoi pour la suite ? Vous n’allez pas les laisser faire hein ? »
Comment l’un des membres éminent de La Cámara va-t-il prendre l’intervention de cette furie qui ne mâche pas ses mots ?
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