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Kyōakusei Kenshirō

Données Spirituelles
Grade: Capitaine de la Gobantai
Ven 2 Sep 2022 - 9:51 - Kyōakusei "Kyōken" Kenshirō

Kyōakusei "Kyōken" Kenshirō

Race Shinigami
Âge D'apparence la vingtaine


Grade Troisième siège de la Gobantai (5e)


Pouvoir

Raikōenjīro - Lorsque le Shikai est libéré, son katana droit prend la forme d'un haladie, poignard à double tranchant composé de deux lames incurvées, reliées aux extrémités par un seul manche. C'est une arme modulable qu'il a la possibilité de séparer en deux dagues, chacune pouvant alors se déployer en grands shurikens de trois pals courbés. C'est là sa forme privilégiée, appelant ces shurikens ses "corbeaux".
Raikōenjīro:

Son pouvoir est basé sur le thème de l'aube sanglante, lorsque le soleil se lève sur le spectacle d'un champ de bataille où ne reste qu'armes brisées et corps enchevêtrés, ses corbeaux se faisant alors charognards venus se repaître du festin. Concrètement, ses lames peuvent changer de plan : elles peuvent être physiques et frapper les corps comme n'importe quelle arme le ferait ; mais elles peuvent aussi n'être que spirituelles lorsqu'il a recours à leur pouvoir.

Les obstacles physiques ne pourront alors pas les arrêter (les défenses d'énergie spirituelle fonctionneront tout aussi bien par contre), et les blessures infligées ne causeront pas de plaies (passe simplement au travers des corps) ni de douleurs, la victime ne ressentant rien comme s'il s'agissait déjà d'un cadavre pourrissant. Cependant le corps est tout autant affligé, affaibli, et ceux qui se moquent de n'avoir été touchés finissent bien souvent par s'effondrer sans comprendre ce qui leur était arrivé.
Kyōakusei "Kyōken" Kenshirō P-shini

Description

Kyōken n’a pas choisi son surnom par hasard. Non seulement il s’agit là bien sûr d’une habile contraction de ses nom et prénom (Kyōakusei Kenshirō), mais signifie qui plus est « chien fou », ce qui le désignera avec bien assez d’exactitude. Il semble toujours que pour lui la vie soit une immense scène sur laquelle il lui incomberait de briller. Une volonté de se mettre en avant, quitte à s’attirer bien des ennuis, sans y penser à deux fois et surtout sans jamais regretter. Toujours actif, parfois hâtif, il peut feindre également la nonchalance à l'occasion dans le seul but d’attirer l’attention une fois de plus, s’il pense que cela peut le mettre en valeur d’une manière ou d’une autre. Car Kenshirō aime plaire assurément, se faisant beau parleur au besoin, sans pour autant en tirer d’immenses succès.

S’il faut ainsi lui reconnaître une certaine frivolité, le brun aux yeux d'acier montre par contre beaucoup de sérieux dans un entraînement particulièrement rigoureux, depuis toujours. Car comment s’ambitionner protagoniste principal sans que ses capacités ne s’alignent sur de pareils standards ? Alors il s’arrange pour être toujours affûté, prêt à frapper, tel un sabre sans fourreau. Celui qu’il porte d’ailleurs est un katana droit, dépourvu de garde. Sa poignée est noire, mais du pommeau tombe une cordelette tressée carmine au bout de laquelle pend un petit disque de métal sombre.

Le Kyōakusei prend d’ailleurs soin de lui sous tous les aspects, s’assurant d’être toujours présentable. Il taille ses cheveux lui-même pour être sûr d’être « au poil ». Pas qu’il ne pourrait pas s’offrir les services de quelqu’un de plus compétent en la matière, mais il avait toujours fait ainsi et ne voyait pas de raison de changer. Son Shihakushō a été personnalisé pour y faire apparaître une capuche, qu’il ne porte pas plus que cela d’ailleurs, juste « pour le style ». De même, les manches de sa tenue ont été ôtées proprement, bien que ce choix soit guidé également par l’aspect pratique d’y gagner de la liberté de mouvement.

Orgueilleux, il ne manquera pas de louer ses propres capacités, son corps d’Apollon et sa belle gueule. Opportuniste, il ne ratera aucune occasion de s’approprier ce qu’il désire ou de se mettre sur le devant de la scène. Le Kyōken au sabre sans garde est bien sûr également audacieux, comme tout l’indique chez lui. Et c’est ainsi que l’impétueux Shinigami compte bien bâtir sa légende !
Kyōakusei "Kyōken" Kenshirō P-shini

Histoire

Par mesure de clarté, les « dialogues de narration » seront en italique et entre astérisques.


Counter Shot

Salle d’entraînement, Seireitei


La tronche amochée. Mais toujours un grand sourire sur sa gueule d’ange. Zoom sur un regard déterminé, tandis que l’on sent ces yeux d’acier dire un « t’as pas tout vu mon gros ». Bon, jusque là, ça ne se passait pas pour le mieux. L’heure de sa botte secrète arrivait à grand pas, pour venir botter le cul de ce colosse aux cheveux d’argent qui se battait comme un pied. Kyōken prend une grande inspiration, et son rictus de s’étirer.

    - BAN… KAI !!!
Répartie beuglée pour y donner plus de poids encore. Déferlement d’énergie. Arrêt sur image…

    *Ça, c’est moi. Beau gosse hein ? Et puis charisme de dingue, c’est sûr. Oh, mais laissez-moi deviner… Vous vous demandez comment j’en suis arrivé là ? Comment j’ai deviné ? Facile, ils font le coup dans tous les films. Mais hé… pas de panique. Je vais vous raconter ma légende !


    - BAN… KAI !!!
    *- Ah, tu t’es trompé là, c’est la même scène.
    - Mais non…
    - Comment ça mais non ? Tu cries Bankai et tout, c’est pareil.
    - Bon, tu me laisses raconter ou pas là ? C’est moi qui raconte l’histoire ou c’est pas moi qui raconte l’histoire ? Bon...*

Fade to Black

Marché du 63e district Est, Rukongai


    - BAN… KAI !!!
Retour du fondu au noir. Lorsque la luminosité permet de visualiser la scène à nouveau, c’est un Kenshirō bien plus jeune qui se tient là fièrement, tenant son bokken taillé par ses propres moyens entre les mains. La même force de conviction l’habite déjà, mais bien sûr rien ne se produit, sinon un éclat de rire du gamin des rues face à l’incrédulité de son poursuivant. Juste une manière de le prendre au dépourvu avant de cavaler à nouveau. Sur son épaule, une corde retenant deux gourdes d’eau, perdant quelques giclées dans sa course.

À l’entendre brailler derrière, clairement, c’était ce que le gars voulait récupérer. Le gamin se dit « hé, tu peux toujours courir ! Je vous l’ai déjà tous fait à l’envers au moins dix fois ici, y a pas de raison que ça change ». Et c’était justement le problème : des ennemis, il s’en était fait quelques uns. Si bien que lorsqu’il se fit soudainement empoigner par le col, s’étranglant par la vitesse de sa propre course, son corps se retrouva presque à l’horizontale dans les airs. Le souffle coupé, toussant, tâchant de retrouver de l’oxygène. L’autre gars est aussi essoufflé lorsqu’il les rejoint, et à entendre les deux hommes discuter, ils sont tous les deux bien décidés à lui flanquer la bonne correction qu’il mérite. Là, Kenshirō devrait balancer l’une de ses légendaires bravades, les poings fermement campés sur ses hanches. Mais il reste à genoux, affaissé, les mains sur la gorge tandis que son bokken repose au sol. Il est fait. C’est tout, là c’est terminé, aucune chance de s’en sortir. Il allait la prendre sa dérouillée.

Cependant, la prise sur son col se relâche, et le gars qui le tenait l’instant d’avant chancelle. Ses yeux gris se tournent, perçoivent le mouvement. Une des gamines du district, d’environ son age. Le genre à qui il ramène sa flotte quand il y parvient pour profiter de son moment de gloire quand tout le monde est heureux de sa rapine. C’est ça le meilleur moment. L’adrénaline c’est génial, mais le sentiment d’être le héros du jour, c’est juste inégalable. Et grâce à la blanche, il aurait peut-être l’occasion de briller encore. En réflexe, il attrape la corde à son épaule, et d’un balancement il donne de l’amplitude et de la puissance, éclatant les gourdes au visage de son agresseur. Il ramasse son bokken, et attrape la main de la gamine pour la mettre à l’abri et… bon, non, en vrai c’est elle qui lui a pris la main, mais hé, c’est qui qui raconte ? C’est lui le héros de l’histoire là, c’est bon, on n’est pas à un détail près, et puis… bon… Bref !

Quelques instants plus tard, dans une allée. Elle se présente.

    - Merci pour tout Mizuki. Moi c’est Kyōken, mais toi tu peux m’appeler Kenshirō. Après tout tu es mon acolyte désormais, hein ? Enfin… un peu bidon le héros aujourd’hui. J’ai d’eau ni pour moi, ni pour personne, va y avoir des déçus… Enfin… qu’on est là tous les deux… comme tu m’as sauvé, je peux bien partager ça avec toi...
Fouille sa tenue à la recherche d’une petite pochette de konpeitō, qu’il partagera donc avec elle. Ça ne suffira pas à étancher sa soif ni caler sa faim, mais au moins pour l’heure, ça fera un peu de bien au moral...

    *- Le rapport quel est le rapport ?
    - Ça va, ça va, j’y viens.
    - Oui enfin ça fait un peu long là, et y a toujours pas de lien avec la situation du début hein !
    - Tout est lié je te dis ! Et puis j’aime bien ce passage, c’est un chouette souvenir, roh ! Faut savoir profiter dans la vie. Enfin, où j’en étais… attends voyons voir...*


Traveling

Rues du 47e district Est, Rukongai


    *Bank… ahah, non, j’t’ai eu ! Héhé.*
Depuis ce jour, Mizuki et lui avaient fait route ensemble. Au départ, ils avaient commencé à migrer parce que Kenshirō s’était taillé une bien trop mauvaise réputation. Il espérait que les gosses de là-bas trouveraient le moyen de s’approvisionner par eux-mêmes désormais, mais c’était vraiment devenu trop dangereux pour lui. Pas qu’il manque de courage, loin de là ! C’est Mizuki qui avait insisté. Ailleurs, il pourrait en aider d’autres alors qu’ici il ne s’attirerait que des ennuis. Quelques années avaient passé. Ils s’étaient affûtés. Mizuki avait plus que pleinement rempli son rôle d’acolyte, démontrant à son tour une puissance leur permettant de se garantir une sécurité supplémentaire. Bon, ils étaient loin d’être les seuls à connaître la faim, mais eux cherchaient vraiment à développer le peu qu’ils avaient, et puis ils avaient quand même foutrement plus de classe que tous ces pégus !

D’ailleurs en parlant de charisme, Kenshirō avait développé un style à l’épée trop stylé. Alors ça paraît con comme ça mais… il avait appris à la manier avec la poignée à l’envers, la pointe en direction du sol. Cumulant cela avec sa vivacité naturelle et son don pour l’improvisation, il se targuait d’être ainsi parfaitement imprévisible. Mais le fait était qu’il manquait encore cruellement de pratique. De technique. De force et de rigueur. En bref… c’était vraiment trop bien ce délire de dojo qui cherchait à s’installer là, à quelques rues de là où ils créchaient ! Kyōken y était venu parader lorsqu’il en avait entendu parler, mais rapidement l’évidence lui avait été montrée : il lui restait beaucoup à apprendre. C’est donc forcément surexcité qu’il alla retrouver Mizuki plus tard, pour lui faire découvrir les lieux. Là, prêts à s’y engager, il lui prend la main et la serre dans la sienne. Tournant la tête dans sa direction, il avait une grande déclaration à lui faire.

    - C’est pas grave si je te prends la main, hein ? De toute façon, un jour tu seras ma petite copine. Juste attendre que t’aies de plus gros ploplo et bam, vas-y que j’t’emballe, ahah !
Simple boutade ou une part de sérieux ? En tout cas il s’en amuse là tout de suite, pressant le pas tout en emmenant la blanche dans sa foulée.

    *- Et du coup…
    - Mais chuuuut toi ! T’es toujours là à râler, toujours un truc à redire, t’es relou là, c’est bon !
    - C’est pas ma faute aussi, tu dois raconter comment t’as affronté le grand balaise, et tu fais que causer de cette nana… T’as même pas encore rejoint le Seireitei là, on n’a pas le temps d’écouter tout ça, grouille.
    - J’y arrive au Seireitei ! On a été au dojo, on est devenus trop balèzes, le Sensei il nous a dit « c’est bon, vous deux, zouh à l’Académie, vous allez rouler sur le cursus en 2-2, ça m’étonnerait pas qu’on vous demande d’être profs même »!
    - Bah voyons…
    - Gnégnégné bah voyons, gueguegue la suite de l’histoire. Tsss, faut se détendre hein ! Allez… l’Académie...*


Depth of Field

Académie des Shinigami, Seireitei


Zoom arrière. Rien qu’à deux, seuls contre le monde, c’est terminé. Et ils n’avaient plus rien de particulier… enfin, à part ce charisme d’un autre monde, mais ça ça s’apprend pas dans les livres c’est sûr. Ici, des gars doués, y en a plein. Mais le Kyōakusei n’avait vraiment AUCUNE intention de se faire piquer la vedette, par qui que ce soit. Et pourtant, de potentiels protagonistes, y en a. Et donc autant d’antagonistes pour lui, le véritable héros ! Donc il allait devoir cravacher d’autant plus. Sans relâche. Bon, il faudrait bien qu’il se fasse d’autres amis, et… ah. Mizuki aussi…

C’était tant mieux hein. Mais bon… disons que ça l’embêtait moins quand elle se faisait des copines. Pourtant lui ne se gênait pas trop pour tenter de butiner – avec une stratégie pas tout à fait au point, il fallait l’avouer – mais quand il la voyait rire avec un autre garçon, il ne pouvait pas s’empêcher de vouloir être plus drôle encore, et plus remarquable, et de sortir son plus beau sourire et un clin d’œil de beau gosse. L’attirail complet en somme ! Là, c’est avec un gars qu’il connaît qu’elle discute. Le grand balèze avec qui il a sympathisé à la rentrée.

    - Shinjiroooooooo... J'te défoooooooooooonce !
Ah ça pour attirer l’attention, ça avait fait le taf. Tous les regards s’étaient tournés dans leur direction. Et le Kyōken de ricaner.

    - Combat amical, pour voir c’que tu vaux. Plus ils sont grands plus ils font de bruits quand ils tombent, j’ai envie de voir ça !
Bon du coup ce jour-là il n’avait pas vu grand-chose. Enfin, à part « plus ils sont grands et plus ils cognent fort ». Mais au moins Mizuki lui avait accordé toute son attention ensuite, s’occupant de lui comme il refusait d’aller à la Quatrième Division « pour si peu ». De là en tout cas était née une réelle rivalité. Une motivation nouvelle à se dépasser sans cesse.

    - Il a eu de la chance, j’avais le soleil dans les yeux. La prochaine fois je vais me le faire, tu vas voir ! En plus j’ai eu une crampe à la cheville, la poisse hein. À deux doigts de le défoncer, ça s’est joué à des détails, hein ?
Contraste avec ce qu’il pouvait bien en dire ; ce qu’il pensait. Il avait compris. Il avait bien vu qu’il était pas seulement plus grand, mais aussi plus fort. Bon, pas « le meilleur ». Parce que le meilleur, tant que c’était pas lui, ce serait personne. La place lui était déjà réservée, c’était juste une question de temps, c’est tout. Mais Shinjiro serait un bon tremplin ! Voilà pourquoi il le provoquera sans cesse, cherchera toujours à l’affronter. Partenaires d’entraînement, et pas que durant les heures de cours. Dès qu’il y avait un créneau et qu’il pensait avoir appris un nouveau truc qui pourrait faire la différence, paf, concours de tatanes. Kenshirō n’était par contre pas le seul à progresser, si bien que les résultats ne variaient pas vraiment.

    *- Et donc… tout ça pour elle ? Toute cette histoire, juste pour chopper la fille ?
    - Blablabla LALALALAAAAAAAAA je t’entends PAAAAAS ! Puis de toute façon c’est bon là, c’est la fin de l’histoire, tu peux partir !
    - Quoi ? Comme ça ? Mais on sait même pas ce qu’il s’est passé après le Bankai !
    - Bah, rien rien, c’est tout, finito. Puis je veux plus te raconter à toi là, tu m’as saoulé...
    - Bon... d'accord... c'est dommage, si près du but, mais d'accord. On peut quand même se faire la bise ou ... ? Non ?
    - Non, pas vraiment, non. J'vous jure, j'en peux déjà plus de la 5e...*


End Clap

Quartiers de la Gobantai, Seireitei


    *Vous êtes toujours là ? Vous kiffez hein ? Bon allez, pour vous spécialement, je raconte la fin, quand même ! On est restés potes. J’ai appris le Shikai, j’ai voulu frimer ; ce con l’avait aussi. Et ainsi de suite… On s’est dit qu’on se retrouverait à la Onzième de toute façon, et que là on verrait bien qui serait le meilleur. Forcément, on me filerait un meilleur siège à moi, j’ai quand même beaucoup plus d’atouts, c’est sûr ! Et là, y a quelques jours pour les affectations, j’vois quoi ? Cinquième Division. La haine quoi ! Bon, pas d’offense les mecs, le Rukongai c’est sympa et tout, mais voilà. Par contre l’autre Shinjiro, il est où ? J’vous le donne en mille : la Onzième ! Ah. On est d’accord, c’est du foutage de gueule hein ? Enfin soit…

    Du coup ça m’a foutu la rage. Alors, j’ai voulu aller réparer cette injustice. Mais cette fois, j’avais un autre atout dans ma manche. Allez, parce que c’est vous, je vous le fais une dernière fois pour la route, quand même...*


    - BAN… KAI !!!
Kyōakusei "Kyōken" Kenshirō P-shini

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DMC → [i]DANTE[/i] est [b]Kyōakusei Kenshirō[/b]

Comment avez-vous connu le forum : C'est moi qui l'ai faiiiiiiiit !

Est-ce un double-compte ? Oui, d'Orias.



Dernière édition par Kyōakusei Kenshirō le Ven 9 Sep 2022 - 0:53, édité 1 fois
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Kyōakusei Kenshirō

Données Spirituelles
Grade: Capitaine de la Gobantai
Ven 9 Sep 2022 - 0:53 - Kyōakusei "Kyōken" Kenshirō

Présentation terminée !
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Naoki Shiori

Données Spirituelles
Grade: Vice-Capitaine de la 2ème Division
Sam 10 Sep 2022 - 14:00 - Kyōakusei "Kyōken" Kenshirō

Bonjour Kenshiro !

J'ai le plaisir de te valider au grade de 3e siège de la 5e division !

Ton rang attribué est celui d'expert.

Du reste, je ne vais pas te faire le listing d'aide à la création de FT. Ce serait faire visiter la cathédrale à son architecte.

Je te souhaite à présent bon jeu sur BTC, au plaisir de te rencontrer en RP !
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Naoki Shiori

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