Koganei Muzan
Données Spirituelles
Grade: Five of Clubs
Dim 10 Sep - 16:12 - Halte garderie
Depuis l'attaque que Tokyo avait subi, du temps était passé. La ville se reconstruisait tranquillement, les esprits s'étaient quelques peu apaisés mais l'Ultima Necat ne chaumait pas. Il faut dire que quelques Hollow inférieurs avaient été attirés par la débauche d'énergies spirituelles et ils avaient commencés à chasser aux alentours, forçant les Clubs à veiller au grain.
Cela expliquait alors la présence de Muzan ce jour. Il rendait son dernier rapport, suite à une intervention au niveau du Port la veille, qui avait quelque peu dégénérée mais qu'il était parvenu à circonscrire avant l'arrivée des autorités "officielles" de la ville. Si sa mission avait été une réussite, il avait été légèrement touché à la jambe et sa blessure d'origine le faisait plus souffrir que d'habitude. Fort heureusement, il pouvait toujours compter sur sa canne pour le déplacement.
Alors qu'il faisait demi tour, une petite silhouette non loin attira son attention. Il n'était pas si courant que cela de voir des enfants au sein même de l'Organisation, alors il devait admettre que sa présence ici le surprenait. Surtout avec ce... Robot ? Qu'est-ce que c'était que ça ? Ne comprenant pas trop la logique, il s'approcha en boitant, s'appuyant sur sa canne, et haussa le ton :
Quelques regards se tournaient vers lui. Puis vers la demoiselle en question. Un des hommes responsable de l'organisation au sein de l'Ultima Necat s'approcha de lui, visiblement confus.
Muzan fut prit de court. Il remercia l'homme et posa de nouveau le regard vers la dénommée Adelheid. Il s'inclina dans sa direction en guise d'excuse. Et alors qu'il se redressait, il reprit la parole :
Il avait pensé qu'elle était sans doute "une fille de". Et n'appréciant que très peu le contact avec les enfants, il avait voulu réprimander les parents qui laissaient une enfant sans surveillance. Quelle idiotie de sa part à dire vrai. Et si effectivement il était épuisé de par la nuit qu'il avait passé, cela n'était pas une raison pour manquer de respect à une consoeur.
S'excuser ne lui posait aucun problème. Mais lui qui n'avait que peu d'empathie pour les autres, voilà qu'il parlait à une enfant. Des éponges selon certains.
Cela expliquait alors la présence de Muzan ce jour. Il rendait son dernier rapport, suite à une intervention au niveau du Port la veille, qui avait quelque peu dégénérée mais qu'il était parvenu à circonscrire avant l'arrivée des autorités "officielles" de la ville. Si sa mission avait été une réussite, il avait été légèrement touché à la jambe et sa blessure d'origine le faisait plus souffrir que d'habitude. Fort heureusement, il pouvait toujours compter sur sa canne pour le déplacement.
Alors qu'il faisait demi tour, une petite silhouette non loin attira son attention. Il n'était pas si courant que cela de voir des enfants au sein même de l'Organisation, alors il devait admettre que sa présence ici le surprenait. Surtout avec ce... Robot ? Qu'est-ce que c'était que ça ? Ne comprenant pas trop la logique, il s'approcha en boitant, s'appuyant sur sa canne, et haussa le ton :
- - Dites-moi. Quelqu'un peut-il me dire ce que fait cette jeune demoiselle sans surveillance ?
Quelques regards se tournaient vers lui. Puis vers la demoiselle en question. Un des hommes responsable de l'organisation au sein de l'Ultima Necat s'approcha de lui, visiblement confus.
- - Il s'agit de la Two of Cups. Mademoiselle Adelheid Edelweiss.
Muzan fut prit de court. Il remercia l'homme et posa de nouveau le regard vers la dénommée Adelheid. Il s'inclina dans sa direction en guise d'excuse. Et alors qu'il se redressait, il reprit la parole :
- - Je vous prie de bien vouloir accepter mes excuses. Je ne pensais pas que vous apparteniez à l'Organisation directement. Je suis Koganei Muzan, Five of Clubs.
Il avait pensé qu'elle était sans doute "une fille de". Et n'appréciant que très peu le contact avec les enfants, il avait voulu réprimander les parents qui laissaient une enfant sans surveillance. Quelle idiotie de sa part à dire vrai. Et si effectivement il était épuisé de par la nuit qu'il avait passé, cela n'était pas une raison pour manquer de respect à une consoeur.
- - Une telle erreur ne se reproduira pas. Si je peux faire quoi que ce soit, je vous écoute.
S'excuser ne lui posait aucun problème. Mais lui qui n'avait que peu d'empathie pour les autres, voilà qu'il parlait à une enfant. Des éponges selon certains.
